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Radar vivant : l’école Notre-Dame-de-Fatima invite à la sécurité routière

20 septembre 2024

Radar vivant : l’école Notre-Dame-de-Fatima invite à la sécurité routière

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Si les radars pouvaient parler, quels seraient leurs constats ? L’école primaire Notre-Dame-de-Fatima en a fait l’expérience en participant au projet Radar vivant du Service de police de la Ville de Montréal. 

Muni d’un sac à dos qui affiche la vitesse des automobilistes, le jeune Farel, accompagné d’une sympathique brigade policière, a joué le rôle de radar aux abords de son école. Visant à sensibiliser la population à la sécurité routière dans les zones scolaires, l’opération a été un franc succès. 

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Pour la sécurité de tous 

Yan Cantin, directeur de l'école Notre-Dame-de-Fatima, Karine Parent, Agent sociocommunautaire du SPVM et Valérie Legault, directrice adjointe de l'école Notre-Dame-de-Fatima

Pour la sécurité de tous 

Quand Valérie Legault, directrice adjointe de Notre-Dame-de-Fatima, a été approchée par le SPVM, elle a tout de suite été interpellée. « Ici, on est sur un boulevard. Ça roule vite et les gens font des demi-tours au milieu de la rue. On a énormément d’enfants qui viennent à pied, donc on trouvait que c’était une belle façon de faire de la sensibilisation », lance-t-elle. C’est ainsi que le 11 septembre dernier, l’équipe de l’opération Radar vivant, en compagnie de l’élève de 5e année, s’est mise en action sur le boulevard Rodolphe-Forget à Rivière-des-Prairies. 

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L’équipe n’a pas chômé. « C’est environ une voiture sur deux qui a été interceptée », précise Valérie Legault. « Comme l’activité en était une de prévention, aucune amende n’a été donnée. Les policiers ont plutôt pris le temps de discuter avec les automobilistes fautifs », ajoute-t-elle.  

Une action appréciée 

Une action appréciée 

Toute l’équipe présente ce matin-là a reçu de beaux commentaires des parents et des voisins qui souhaitent voir un changement dans les mauvaises habitudes des automobilistes. Du côté de Farel, qui s’est porté volontaire sans hésiter, l’activité était très enrichissante. « J’ai fait ça pour aider les policiers à faire leur travail ! », affirme fièrement l’élève de 5e année. « Ça a aussi permis aux conducteurs d’arrêter de rouler vite », renchérit-il en terminant. 

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Bravo Farel pour ton implication ! Merci à l’équipe-école et au SPMV de travailler main dans la main pour garder nos jeunes en sécurité. 

 

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